Un week-end a suffi à vous convertir aux chambres d’hôtes. C’était l’été dernier, dans le Luberon. Et... vous avez adooooréé... le refuge cosy de ce couple charmant. Les savoureux cakes du maître des lieux et ses idées de balades si gentiment suggérées. L’adresse, vous l’aviez trouvée grâce aux Gîtes de France, la référence, avec ses lieux classés de un à quatre épis. Depuis, avant de partir, vous avez le réflexe “ chambres d’hôtes ”. En milieu rural ? Pas de problème.Dans les villes, c’est plus compliqué.
Un petit tour sur le vaste Net laissait présager le pire, comme un Clic-Clac dans un deux-pièces d’étudiant fauché. Rock’n roll mais pas franchement attirant. À quoi se fier ? Au prix, à l’aspect des croissants sur les photos ? Rien d’évident jusqu’à présent. À chacun son credo. Même si les chambres ont été visitées et sélectionnées, il faut faire la différence entre les offres plutôt haut de gamme et les simples chambres chez l’habitant.
Le public recherche un moyen chaleureux et spontané de découvrir la ville à travers ses habitant. Les sanitaires et la salle d’eau ne sont pas obligatoirement privatifs. Le but n’est pas de concurrencer les hôtels mais d’offrir des garanties de qualité à ceux qui souhaitent visiter la ville autrement.
Les locaux prennent souvent le temps de partager leur vie quotidienne avec les voyageurs.
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