Passé les portes de la gare centrale, on se retrouve instantanément projeté dans le tourbillon de la vie amstellodamoise. Rythmée par le mugissement des trams et le tintement des sonnettes des bicyclettes. Le temps d’un week-end, on enfourchera volontiers soi-même un deux-roues pour de longues promenades dans le centre historique de la ville, le long des canaux. Incontour-nables: le marché aux fleurs et le quartier des musées pour une visite du Musée Van-Gogh ou de l’impressionnant Rijksmuseum fraîchement rénové. En nocturne, on ira se perdre dans les ruelles du quartier rouge, explorer les bars animés et autres coffee shops enfumés, les cafés blancs ou bruns et les salons de thé romantiques du Jordaan.
Pourtant, c’est un tout autre secteur d’Amsterdam qui suscite aujourd’hui la curiosité de nouveaux visiteurs: urbanistes et architectes, voyageurs branchés affluent de toute l’Europe pour découvrir le nouveau Oostelijk Havengebied. Une zone de docks longtemps abandonnée, devenue en une dizaine d’années le véritable laboratoire d’une expérience architecturale audacieuse frisant l’utopie. Quatre étroites péninsules, Java, KNSM, Borneo Eiland et Sporenburg, reliées par une bande de terre: un espace offert à l’imagination d’une armada d’architectes mis au défi d’y construire un maximum d’habitations. Résultat, un univers qui n’aurait probablement pas déplu au cinéaste Jacques Tati, et une belle démonstration d’un esprit hollandais tourné vers la modernité. Toitures pointues ou arrondies, façades de pierre brute ou travaillée, alternance des teintes pâles du béton et des couleur vives de murets de pavillon, bois, verre ou métal: un étonnant mélange de matières et de structures pour un total de 8000logements construits (120 par hectare), et la réhabilitation réussie d’anciennes constructions portuaires. Cette soudaine renaissance a immédiatement attiré une population jeune et dans le vent, et, dans la foulée, des boutiques de design et de déco à la pointe de la création contemporaine sont apparues. Les meubles aux lignes épurées de Pilat & Pilat, les luminaires et accessoires divers de Rol’s Potten et de World of Wonders sur l’île KNSM ou l’imposant showroom Pakhuis Amsterdam, exposition permanente de grands noms du design dans un ancien entrepôt de cacao dont la structure de bois et de métal a été conservée intacte. Au centre de ce nouveau quartier, un impressionnant terminal aux parois de verre accueille déjà chaque année une centaine de bateaux de croisière. Un autre visage de la ville de Van Gogh, bouillonnant de créativité, à découvrir absolument, d’autant qu’il est désormais relié à l’île Java et au centre d’Amsterdam grâce au spectaculaire Jan Schaeferburg: un pont de près de 200mètres de long dont la structure de tubes d’acier obliques lui a valu le surnom de Lézard. Passé les portes de la gare centrale, on se retrouve instantanément projeté dans le tourbillon de la vie amstellodamoise. Rythmée par le mugissement des trams et le tintement des sonnettes des bicyclettes. Le temps d’un week-end, on enfourchera volontiers soi-même un deux-roues pour de longues promenades dans le centre historique de la ville, le long des canaux. Incontour-nables: le marché aux fleurs et le quartier des musées pour une visite du Musée Van-Gogh ou de l’impressionnant Rijksmuseum fraîchement rénové. En nocturne, on ira se perdre dans les ruelles du quartier rouge, explorer les bars animés et autres coffee shops enfumés, les cafés blancs ou bruns et les salons de thé romantiques du Jordaan.
Pourtant, c’est un tout autre secteur d’Amsterdam qui suscite aujourd’hui la curiosité de nouveaux visiteurs: urbanistes et architectes, voyageurs branchés affluent de toute l’Europe pour découvrir le nouveau Oostelijk Havengebied. Une zone de docks longtemps abandonnée, devenue en une dizaine d’années le véritable laboratoire d’une expérience architecturale audacieuse frisant l’utopie. Quatre étroites péninsules, Java, KNSM, Borneo Eiland et Sporenburg, reliées par une bande de terre: un espace offert à l’imagination d’une armada d’architectes mis au défi d’y construire un maximum d’habitations. Résultat, un univers qui n’aurait probablement pas déplu au cinéaste Jacques Tati, et une belle démonstration d’un esprit hollandais tourné vers la modernité. Toitures pointues ou arrondies, façades de pierre brute ou travaillée, alternance des teintes pâles du béton et des couleur vives de murets de pavillon, bois, verre ou métal: un étonnant mélange de matières et de structures pour un total de 8000logements construits (120 par hectare), et la réhabilitation réussie d’anciennes constructions portuaires. Cette soudaine renaissance a immédiatement attiré une population jeune et dans le vent, et, dans la foulée, des boutiques de design et de déco à la pointe de la création contemporaine sont apparues. Les meubles aux lignes épurées de Pilat & Pilat, les luminaires et accessoires divers de Rol’s Potten et de World of Wonders sur l’île KNSM ou l’imposant showroom Pakhuis Amsterdam, exposition permanente de grands noms du design dans un ancien entrepôt de cacao dont la structure de bois et de métal a été conservée intacte. Au centre de ce nouveau quartier, un impressionnant terminal aux parois de verre accueille déjà chaque année une centaine de bateaux de croisière. Un autre visage de la ville de Van Gogh, bouillonnant de créativité, à découvrir absolument, d’autant qu’il est désormais relié à l’île Java et au centre d’Amsterdam grâce au spectaculaire Jan Schaeferburg: un pont de près de 200mètres de long dont la structure de tubes d’acier obliques lui a valu le surnom de Lézard.
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